El MENU COUCHES Le menu de couches constitue le corps de la cartographie Geointeractiva originale. Sa structure a été conçue dans le but didactique d'améliorer la compréhension de la manière dont une carte est construite avec ses couches cartographiques. Ce menu vous permet de créer des cartes avec des combinaisons uniques de couches.

Les éléments cartographiques physiques et politiques de la carte peuvent être combinés à la demande de l'utilisateur. Chaque élément cartographique (par exemple, caps et points / relief côtier) se distingue de ses différentes parties cartographiques (couleur, point, texte et ligne). Les éléments sélectionnés seront toujours accessibles à partir du Menu Outils et pourront être combinés avec d'autres couches externes et personnalisés par l'utilisateur.

L'utilisateur peut utiliser la carte par couches et créer une carte physique, une carte politique, une combinaison des deux, ou une carte uniquement avec les noms de lieux, une autre avec des icônes, etc.

Il permet d'afficher et de comparer les informations associées de vidéos, d'images ou d’audio de certains éléments de la carte, tels que les marqueurs. Avec son activation, vous pouvez accéder à une vue rapide des informations contenues dans les différents éléments interactifs de la carte, en mettant en évidence visuellement les enclaves ayant un contenu interactif.

L'outil Multimédia est lié à tout le contenu graphique ou multimédia. L'application permet l'insertion de contenu, géoréférencé ou sous forme de fichier multimédia, contenant les éléments par catégories afin que l'utilisateur puisse les identifier facilement. L'utilisateur peut télécharger n'importe quel fichier au format VSV * (valeurs séparées par des virgules) pour pouvoir le visualiser sous forme de couche supplémentaire en le combinant avec les autres informations cartographiques et les fichiers multimédias déjà implémentés dans l'application.

*La seule condition pour qu'un fichier VSV soit géoréférencé est qu'il contienne les coordonnées géographiques de chaque enregistrement (la longitude et la latitude) dans le système de numération décimale et avec la valeur décimale séparée par un point.

Dans le menu Cartes, toutes les catégories de cartes disponibles pour l'utilisateur sont hébergées, c'est-à-dire les cartes Geointeractiva (les cartes originales et les cartes créées, editées et sauvegardées par l'utilisateur), les cartes dans des fichiers images d’Edigol et les cartes open source.

Le menu montre plusieurs cartes open source hébergées par défaut à titre d'exemple. La cartographie open source est un projet de cartographie en collaboration, libre et gratuit au niveau mondial. Ce sont des bases cartographiques qui peuvent être partagées et éditées par tout utilisateur, avec des informations physiques et politiques du monde entier jusqu'à atteindre un niveau de détail de la planimétrie urbaine (plans de rue) à son plus grande échelle, en utilisant les 22 niveaux de zoom prédéfinis pour la terre entière.

Sur les couches des cartes open source, vous ne pouvez pas superposer les couches de planimétrie des cartes Geointeractiva, mais vous pouvez générer et appliquer des marqueurs, géoréférencer les données d'un fichier VSV et utiliser les outils.

Située dans la partie inférieure droite de la carte, la légende dynamique présente certains éléments qui y sont localisés ainsi que toutes les couches d’intérêt géographique et cartographique. De même, cet outil permet de discriminer la visualisation des populations en fonction de leurs habitants.

Le Chercheur a deux options de base: rechercher et afficher sur la carte les toponymes de la base de données, et le moteur de recherche de coordonnées, ce qui vous permet de saisir les coordonnées géographiques de latitude et de longitude et de les localiser sur la carte.

• Mesure: permet de mesurer des longueurs en ligne droite en kilomètres ou en miles, en établissant les étapes d’un itinéraire chaque fois que vous cliquez sur une souris, et de calculer les zones joignant le point de départ et la fin des segments dessinés avec la possibilité de sauvegarder les deux mesures sous forme d’objets. d'une couche interactive. Vous pouvez mesurer les distances entre les populations, les frontières, les itinéraires, les cours d'eau ou tout itinéraire en ligne droite ainsi que les contours et les zones de toutes les surfaces et les comparer: continents, pays, régions, départements, municipalités, lacs, systèmes de montagne, etc.

• Polygone: cet outil vous permet de créer des zones polygonales en joignant des points.

• Région: en activant cet outil, qui fonctionne de manière analogue au Polygone, vous pouvez comparer la zone et la forme entre deux pays situés à des latitudes lointaines, en faisant glisser et en modifiant leur latitude et en observant la distorsion résultant de la projection Pseudomercator que nous utilisons dans les cartes Geointeractiva. Par exemple, déplacer le Groenland vers une zone équatoriale réduira considérablement sa taille afin de vérifier que sa superficie réelle est équivalente à celle d'autres pays équatoriaux de taille apparente plus petite.

Les Marqueurs sont un outil qui permet à l'utilisateur de placer des objets sur des points géoréférencés à la surface de la Terre sur la carte. C'est aussi un outil de présentation graphique et audiovisuel: les marqueurs peuvent être édités et regroupés selon une catégorie, afin de créer un format de présentation, et l'enseignant, l'étudiant ou le professionnel peut créer la carte de son choix.

Cet outil permet de réaliser des graphes qualitatifs (cartes thématiques) ou quantitatifs (cartes statistiques), de projeter les cartes déjà créées et sauvegardées par l'utilisateur ou encore de charger les cartes proposées par Geointeractiva. Sélectionner "créer une carte statistique" ou "créer une carte thématique" ouvre le menu Editeur dans lequel vous pouvez travailler sur l'action souhaitée. Les cartes proposées par défaut constituent un élément fondamental du produit, car elles fournissent des informations de base sur lesquelles on peut observer l’interaction de l’être humain avec le territoire, établir des comparaisons, postuler des hypothèses d’étude et de projets, ainsi qu’en analyser des causes et effets pour l’adoption finale de critères informés et responsables face à la réalité exposée par la géographie économique et humaine.

Permet d'éliminer tout élément de carte généré par l'utilisateur.

Cette fonction vous permet de sauvegarder les cartes et de les partager avec d'autres utilisateurs de Geointeractiva ou d'autres réseaux sociaux.

Cette fonction, hébergée dans le Menu Editeur, indique en temps réel le nombre de couches affichées sur la carte et vous permet d’agir sur ces couches en activant ou en désactivant leur visualisation.

Découvrez comment complémenter l'utilisation de Geointeractiva en classe avec des exercices et des activités pour l'environnement académique et scolaire. En fonction de l'initiative et de la créativité de chaque enseignant et de la réaction des élèves, le niveau de difficulté des exercices proposés peut être progressivement augmenté.

Une série d’exercices de représentation cartographique de la planimétrie (bathymétrie, hypsométrie, orographie, hydrographie, etc.), d’exercices d’identification de la toponymie (populations, capitales, régions, etc.) et d’autres activités sont proposées à l’enseignant et à l'élève:

Activité 1
Situer ou localisez n'importe quel point de la Terre (villes, contrées naturels, unités de relief, etc.), ainsi que d'autres éléments représentés sur les cartes pour acquérir une compréhension spatiale du territoire sur la carte et apprendre à connaître et à situer les régions du monde.

Étape 1. Dans un premier temps, nous effacerons toutes les couches de la carte et ne laisserons actives que la couche des frontières et la couche graphique des pays masquant les informations toponymiques et simplifiant la carte.

En utilisant le moteur de recherche, nous pourrons entrer les coordonnées de n’importe quel point afin que la carte nous indique la position géographique des coordonnées.

Étape 2. Une fois que la région est située sur la carte, nous allons placer un marqueur et écrirons le nom de la région.

Étape 3. Nous terminons l'exercice en activant la couche de texte de la couche de populations pour confirmer que le marqueur et le nom de la région écrit concordent avec toponyme de la carte.

Activité 2
Cette activité consiste à se positionner correctement sur la carte, au moyen du visualiseur de coordonnées (situé en bas à gauche de la carte), tout élément dont nous connaissons les coordonnées.

Nous activons la carte politique et les axes géographiques et commençons à déplacer le curseur de la souris pour observer comment, en fonction des mouvements que nous effectuons, la latitude ou la longitude augmente ou diminue. Une fois les coordonnées comprises, nous pouvons rapidement placer des coordonnées sur la carte à l'aide du visualiseur.

Activité
Connaître l'étendue des pays en les comparant les uns aux autres à l'aide de la fonction "Région" de l'outil "Mesure", ce qui permet de superposer un domaine à un autre.

Pour générer la surface d'un pays il faut cliquer dessus. Une fois généré, nous pouvons la faire glisser et l'ancrer n'importe où sur la carte, ainsi que modifier sa couleur.

Comme nous observons dans l'exemple, la surface apparente d'un pays, dans ce cas le Groenland, augmente ou diminue par rapport à sa latitude d'origine, en fonction de la projection de la carte. Ainsi, nous pouvons comparer sa taille réelle avec celle d’autres pays. Cet outil nous aide aussi à nous familiariser avec la silhouette de chaque pays.

 

L'outil "Mesure" nous permet de mesurer des distances à l'aide de lignes ou de polygones. À chaque clic sur la carte, nous générons un nouveau point qui sera reflété dans l’information spécifique d'une mesure, en bas du menu.

Activité 1
Nous calculons la distance entre le Mont Aconcagua et la ville de Córdoba. Une fois que nous avons généré le premier point (Mont Aconcagua) et le second (ville de Córdoba), nous devons appuyer une seconde fois sur le dernier point généré pour créer le segment souhaité. Une fois la mesure terminée, toute l’information spécifique apparaîtra dans la partie inférieure du menu.

Activité 2
Nous créons un polygone qui relie trois villes: Buenos Aires, Mar del Plata et Bahía Blanca. Le polygone est généré automatiquement lorsque nous joignons le dernier point au premier. Nous observons que lorsque nous générons des mesures, celles-ci sont enregistrées dans le menu correspondant; nous voyons ainsi l'enregistrement de la ligne et du polygone que nous avons créés.

Nous pouvons également mesurer les distances en combinant divers éléments représentés sur la carte: populations, sommets, caps, pointes, golfes, îles, rivières, montagnes, vallées, etc.

Activité 3
Calculer l’échelle d’une carte à partir de la création d’un ou de plusieurs segments avec leurs longueurs respectives.

Si nous imprimons une carte, ou un fragment de celle-ci, à l’échelle de 100% et mesurons avec une règle le segment que nous avons tracé, effectuant la conversion (règle de trois) entre les unités mesurées sur la carte (en centimètres) et la longueur réelle que nous indique l'outil de mesure (en kilomètres ou en miles), il déterminera l'échelle de la carte ou du fragment en question.

Activité
Connaître où se trouvent les points cardinaux (nord, sud, est et ouest) à partir de n’importe quel lieu géographique et n’importe où sur la carte.

Nous pouvons le faire en visualisant dans la couche d'axes géographiques deux de ses axes principaux: le parallèle de l'Équateur et le méridien de Greenwich (sélectionnés dans l'image). La totalité de la zone située au-dessus de la ligne de l'Équateur correspondra à l'hémisphère nord et la totalité de la zone située au-dessous de la ligne de l'Équateur correspondra à l'hémisphère sud. La même chose se produit avec le méridien de Greenwich. La zone située à gauche de ce méridien correspondra à l'hémisphère occidental et la zone située à droite, celle de l'hémisphère oriental.

Activité 1
Identifiee dans quelle plage d'altitude se trouve tout point de la surface de la Terre, en utilisant l’information des différents niveaux hypsométriques représentés sur les cartes physiques, ainsi que localiser les pics principaux ou les grandes unités de relief d'un territoire donné activant la couche de pics ou celle des systèmes de montagne.

Avec l'aide de l'hypsométrie, les unités de relief et l'hydrographie reconnaître la forme topographique d'un territoire en découvrant et essaie de deviner les zones de forêt, de savane, de culture intensive, d'exploitation minière ou pétrolière, etc.

Activité 2
Identifier dans quelle plage de profondeur se trouve tout point de la profondeur marine, en utilisant les informations des différents niveaux bathymétriques représentés sur les cartes physiques, et identifier également les principales fosses marines activant la couche correspondante.

Avec l'aide de la bathymétrie, observer et planifier, en fonction des zones de plus grande profondeur, les zones de navigation possibles, les ports maritimes ou les bancs de pêche potentiels des mers et des océans.

Déterminer où peuvent se produire les conditions météorologiques les plus extrêmes d’un lieu donné, en fonction de sa position géographique, de son altitude et des caractéristiques de son relief topographique.

Activité
La couche “Masses d’eau” du menu couches permet d'activer individuellement les différentes sous-couches qui la composent, telles que les dépressions, les lacs et les rivières (masses d'eau terrestres) et les océans, les mers, les golfes et les baies (masses d'eau marines). En fonction de la structure de ce menu, les différents couches peuvent être activées en fonction des éléments qui la composent: texte, point et image. Ainsi, si nous voulons étudier les principaux cours d'eau et lacs d'Amérique du Nord, nous devons sélectionner la carte en question et activer les couches correspondantes.

On peut différencier l’origine des eaux des rivières en fonction de l’origine de leur régime, soit de la neige (de la fonte des neiges accumulée dans une montagne), soit de la pluie, avec la combinaison des couches de plans d’eau et des oronymes de la couche de systèmes de montagne. En observant le cours des fleuves, nous pouvons déterminer leur source et embouchure et leurs affluents, ainsi que la densité du réseau hydrographique d’une région donnée (nombre de cours d’eau divisés par la surface d’un territoire donné).

Le degré de concentration urbaine des populations d'un pays, d'une zone ou d'une région peut être connu en activant la couche de zones urbaines. Cette couche permet de reconnaître visuellement et rapidement les principales agglomérations urbaines. Dans l'outil "Information", dans la section "Critères", le domaine minimal des zones urbaines figurant sur la carte où nous nous trouvons est spécifiée.

Activité 1
En premier lieu, nous nettoyons toutes les couches et n’activons que celle des populations. Ensuite, nous affichons la légende (située en bas à droite) pour connaître la fourchette de population déterminée par chaque symbole. En dehors de cela, nous pouvons connaître la population spécifique d'une population en passant le curseur de la souris sur. A partir de là, l’étudiant devra reconnaître les populations les plus peuplées pour savoir où se situent les principales zones urbaines.

Activité 2
Nous observons comment les principales populations se correspondent avec zones urbaines. Si jamais nous observons une population importante sans zone urbaine, c’est parce que cette zone est inférieure aux critères choisis pour composer la carte. Dans le cas de la carte de l'Europe, par exemple, les zones urbaines d'une superficie minimale de 100 km² apparaissent.

Les couches qui composent le menu des couches sont différentes pour chaque carte car elles s’adaptent à leur contenu. Si nous voulons apprendre les capitales des pays, nous pouvons le faire à partir de la carte du monde et des cartes des continents.

Ces cartes (la carte du monde et les continents) présentent une subdivision dans la couche "Populations" qui nous permet de sélectionner individuellement les capitales ou de sélectionner toutes les populations.

Activité 1
Apprendre les capitales de chaque pays: nous nous situons dans la carte du monde et désactivons toutes les couches. Ensuite, nous activons la couche de pays et la sous-couche "Capitales de pays" dans la couche "Populations". Pour apprendre les capitales, nous pouvons activer (au moment de la mémorisation) et désactiver (pour vérifier la bonne mémorisation) ces deux couches, celle de pays et celle des capitales de pays.

De plus, nous pouvons apprendre les capitales des différentes unités administratives nationales de chaque pays (État, province, région, département ou municipalité) avec les cartes au niveau national, qui nous permettent de reconnaître les noms des populations et leur hiérarchie selon un critère administratif. Dans le cas de la France, la couche "Populations" fait la distinction entre capitale de pays, de région et de département.

Activité 2
Apprendre les noms des États: nous nous situons sur la carte de l’Amérique du Nord et nous verrons que, contrairement aux autres continents, ici apparaît la couche d’États et, par conséquent, celle des capitales d’État y figure également.

Nous procédons de la même manière que dans l’exercice précédent, en activant et en désactivant les couches correspondants pour mémoriser peu à peu le contenu qui nous intéresse.

Activité 1
En cliquant sur le toponyme d'un pays nous ouvrons son fiche technique. Nous pouvons en ouvrir plusieurs pour faire une comparaison rapide entre elles. Ces fiches techniques contiennent des données physiques, politiques et socioéconomiques de nature générale.

La fonction de création de fiches techniques ou d’édition des fiches existantes sera introduite ultérieurement, de sorte que l’utilisateur pourra disposer de fiches techniques pour tous les éléments qu’il veut, alors qu'ils ne sont disponibles que pour les pays.

La projection des cartes dans des tableaux blancs interactifs et sur l’ordinateur de l’élève peut également être enrichie et personnalisée en ajoutant des éléments multimédias de propre production à l’aide de l’outil marqueurs (soit par le travail individuel de chaque élève, soit par le travail collectif réalisé par le groupe de classe) capturés à partir d’Internet, par exemple: illustrations, photographies, graphiques statistiques, cartes mentales et conceptuelles, vidéos, hypertextes associés à des références d’articles, à des contenus encyclopédiques, etc.

Activité
Nous commençons par sélectionner l'outil "Marqueurs" pour effectuer cet exercice. Avant de créer un marqueur nous pouvons choisir l’icône qui le représente ainsi que sa couleur. Ensuite, nous cliquons là où nous voulons placer le marqueur pour le créer (nous pouvons aussi le déplacer plus tard ou modifier les coordonnées pour une précision encore plus grande). Une fois créé, nous ajouterons le contenu que nous voulons, image, texte, vidéo, audio, etc. Dans ce cas, nous avons placé un marqueur dans le détroit de Gibraltar et nous avons ajouté une image aérienne du détroit, ainsi qu'une brève description.

Avec l'outil "Multimédia", l'utilisateur peut télécharger et organiser ses propres fichiers (image, audio ou vidéo) et compléter l’information de la carte. De même, Geointeractiva propose des contenus multimédias inclus dans l'abonnement de l'utilisateur.

Nous soulignons les exercices suivants à titre d'exemple:

Activité 1
Identifier, à travers des photos, les enclaves les plus importantes d’un pays, d’une région ou d’un lieu et savoir reconnaître dans quelle région du monde il se situe.
Il peut également être considéré comme un exercice interdisciplinaire de connaissances géographiques, historiques, d'histoire de l'art, d'architecture, d'urbanisme, etc.
De la même manière que les contenus photographiques de Geointeractiva sont regroupés par continents, l'utilisateur peut également créer ses propres catégories pour distribuer le contenu qui a été téléchargé.

Activité 2

Activité 3
Establecer una comparativa sincrónica (a través de los tiempos) de los enclaves y monumentos mostrados en las imágenes actuales respecto de épocas pasadas. Para ello se deberán localizar imágenes antiguas de dichos enclaves y monumentos y subirlas en el espacio “Multimedia”. El usuario podrá así comparar la evolución y los cambios significativos en su forma, en su apariencia y en la fisonomía de su paisaje.

Activité 4
Plantearle al alumno la descripción, oral o escrita, de la información gráfica y geográfica contenida en cada fotografía, y las evocaciones que puedan llegar a sugerir en los alumnos. Puede plantearse también como un ejercicio transversal de redacción de textos, de composición literaria, de expresión oral, etc.

Activité 5
Asociar cada imagen con una canción que identifique (o pueda identificar) el lugar mostrado. Puede plantearse como un ejercicio transversal de música (método Orff, etc.).

Geointeractiva propose un ensemble de tableaux de données et de couches graphiques qui constituent une base sur laquelle approfondir des aspects tels que la connaissance de l’interaction humaine avec le territoire qu’il occupe, établir des comparaisons, postuler des hypothèses d’étude, etc. Ces bases de données, ainsi que celles que l’utilisateur peut télécharger, permettent l’adoption finale de critères fondés sur la réalité exposée par la géographie humaine.

L'outil "Statistiques" permet de créer des tableaux de données quantitatives (carte statistique) et qualitatives (thématiques). Lorsque nous créons une nouvelle table de données, nous devons d’abord sélectionner le type de variable/s et le/s nommer, puis sélectionner les régions que nous souhaitons intégrer et enfin attribuer des valeurs à chacune des régions pour chaque variable créée. Une fois ce processus terminé, nous avons créé une table de données.

À partir d'une table de données, nous pouvons créer des couches graphiques. C'est pourquoi le même tableau de données peut être utilisé pour créer plusieurs couches graphiques, chacune pouvant par exemple contenir des variables différentes.

Activité 1
Vérification de distances entre les populations dans l'application Geointeractiva à l'aide de l'échelle sur la carte de l'Atlas.

Exemple: Vérification de la distance entre San Ignacio et Belize City.

Étape 1. L'échelle de la carte du Belize dans l'Atlas est de 1: 735.000, ce qui signifie qu'une unité de mesure sur la carte correspond à 735.000 unités sur le territoire.

Étape 2. Si nous mesurons sur l'Atlas avec une règle la distance entre San Ignacio et Belize City nous vérifions qu'il est de 13,7 cm.

Étape 3. En appliquant une règle de trois, nous multiplions 13,7 cm. par 735000 et nous divisons par 1. Le résultat est 10.069.500 centimètres, lesquels si nous les transformons en kilomètres, ils sont 100 km.

Étape 4. Nous activons l'outil 'Mesure et magnitude' dans le menu Outils et avec le curseur on clique sur San Ignacio et un double-clique sur Belize City. Nous vérifions que le résultat est qu'entre ces deux populations la distance est de 100 km.

Dans le menu «Mesure et magnitude», nous pouvons modifier l’unité de mesure des kilomètres par celle des miles. Le menu de mesure nous indique également que la distance équivalente en miles est de 62.

Activité 2
Entrez dans l'application les coordonnées approximatives d'une population trouvée dans l'Atlas.

Exemple: Nous trouverons dans l’application les coordonnées de Placencia.

Étape 1. Nous recherchons la population de Placencia dans l’atlas et constatons qu’elle se situe un peu à l’est du méridien 88º 30 '. Sur le champ 'Long.' de l'application nous écrirons la valeur équivalente de 88º 20 ', soit la longueur qui semble la plus proche de nous, divisant les minutes par 60 et additionnant les degrés. Nous obtiendrons donc la valeur -88,33, qui est la valeur décimale de cette coordonnée, écrite en négatif (-88,33) car elle se trouve à l'ouest.

Étape 2. Maintenant, nous observons que Placencia est presque dans le parallèle 16º 30 '. Sur le champ Lat. de l'application nous écrirons la valeur équivalente de 16º 32 ', car la latitude que nous pensons la plus proche en divisant les minutes par 60 et en ajoutant les degrés. Nous obtiendrons donc la valeur de 16,53 que nous écrirons en positif car elle se trouve à la latitude nord.

Étape 3. Maintenant, nous pouvons aller au 'Chercheur' dans le coin supérieur gauche de l'application et écrire les valeurs de latitude (16,53) et de longitude (-88,33) de Placencia et un cercle rouge indiquera sa position géographique. Rappelez-vous que la latitude sud et la longitude ouest ont toujours des valeurs négatives.